De la solitude affolante à la survie en Kit de bricolage, jubilatoire fertilisation de l’optimisme. La Nasa possède enfin son nouveau héros. Le film m’a beaucoup plu, même s’il contient plus d’action que de psychologie. Il m'a enthousiasmée d’autant plus que j’avais été déçue par les 2 derniers films de R Scott . Celui ci, est chargé d’un humour plutôt sympathique. J’ai lu partout qu’on le compare à Gravity , mais si on y retrouve la même odyssée spatiale d’un astronaute perdu dans l’espace et aux prises avec sa solitude, dans Gravity, outre les sensations d'immersion procurées par la 3D et le vide abyssal, c’est plus tragique : l’héroïne livre seule son combat contre l’hostilité de l’espace, contre sa solitude et son é, contre son mal de vivre et elle fait tout ce chemin pour retrouver la vie, le sens de sa vie. Dans « Seul sur mars », on est proche comme j'ai lu ailleurs de "il faut sauver le soldat Damon" car c’est toute l’Amérique et même le monde qui est derrière Matt Damon.