J’ai voulu aimer Zero Hour, vraiment. Le pitch ésotérico-historique était intrigant : des montres anciennes, un complot mondial, un héros malgré lui… Mais très vite, la série s’essouffle. Narration précipitée, personnages peu attachants, suspense mal dosé : on e plus de temps à courir qu’à s’impliquer.
Anthony Edwards fait ce qu’il peut, mais l’écriture ne suit pas. Le mystère devient fouillis, et ce qui aurait pu être une belle série de slow-burn finit en enchaînement chaotique de révélations mal digérées.
Il reste quelques idées visuelles réussies, un concept intéressant, et une envie sincère de bien faire. Mais Zero Hour est victime de son ambition : elle veut trop en faire, sans jamais vraiment convaincre.
Ma note : 4/10 — Un potentiel gâché, frustrant à regarder mais pas totalement dépourvu d’intérêt.