The Dark Side of the Moon se termine par Eclipse, qui s'enchaîne sans interruption tout en prenant un ton beaucoup plus solennel, marqué par une ferme volonté de conclure clairement cette aventure musicale. "There is no dark side of the moon, really. Matter of fact, it's all dark", prononcé par O'Driscoll, suivi d'un battement de coeur (constituant une boucle avec Speak to Me, typique de cette cyclicité floydienne) achève de façon satisfaisante cette atypique expérience sonore. J'ai entendu à droite et à gauche que la citation du portier d'Abbey Road ne devait pas s'arrêter là, à l'origine; il devait continuer en disant "The only thing that makes it look light is the sun". Dommage, ça aurait été sympa aussi, mais je suppose que ce message était un peu trop optimiste aux yeux de Waters, qui décida alors de l'omettre lors du mixage final.
8/10, mais, bordel de merde, cette piste n'a rien de spécial. Encore un morceau surévalué d'un album surévalué (et c'est un grand fan de Pink Floyd qui vous le dit, pas un p'tit con qui juge le groupe sur cet album!)