Les plus fervents adeptes de l’écrivain encensent Nord, le meilleur de la trilogie et même de Céline selon eux. Pourtant, j’ai eu le sentiment d’être é à côté d’une pépite.
A chaque lecture d’un roman de Céline, je ne cesse de relire des ages déjà lus. Non pas pour retrouver une compréhension, mais simplement par ivresse d’écouter ce vieux con maugréer avec génie sur ses malheurs et ses contemporains.
J’ignore encore la raison d’avoir bêtement lu Nord comme un roman au lieu d’écouter Céline.
Par la suite, la délectation de Rigodon m’a convaincu d’une relecture prochaine de Nord.