Gothique, organique, profond, beau ... Mariana Enriquez dévoile dans cette série de 12 nouvelles aussi sombres, effrayantes que magnifiques, les tréfonds des âmes humaines.
Le lecteur découvre des personnages adolescents, jeunes adultes, en marge (femmes le plus souvent) en proie aux violences, aux peurs profondes, à la folie, aux non-dits qui imprègnent notre temps et à travers eux aussi la psyché d’une société argentine effrayante, déréglée.
L’autrice met des mots sur l’horreur d’histoires collectives et des soufs intimes avec un rictus sombre et une poésie immense, flamboyante qui nous hantera longtemps ...
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 29 févr. 2024
Critique lue 12 fois
Des nouvelles sur des jeunes femmes et des ados qui mêlent l'horreur et la peur au quotien. Tellement ancrés dans la réalité, ces récits en disent tellement sur notre société que c'en est à la fois...
Par
le 4 oct. 2023
3 j'aime
Des nouvelles d'horreur très efficaces dans lesquelles les horreurs bien réelles de notre monde bien glauque prennent une coloration surnaturelle. Ça se lit très bien, très vite. Tellement vite que...
Par
le 25 avr. 2023
1 j'aime
pas réussi à décrocher de ce bouquin il y avait quelque chose de sale et de poisseux qui en ressortait c'est addictif, l'impression que les personnages féminins étaient dégueulasses et en train de...
Par
le 24 mars 2025
Rousse, jeune renarde curieuse explore "le monde d'après". Un monde déserté par les humains. Elle explore ce monde à la rencontre des "beaux habitants de l'univers". A la recherche aussi "d'air plus...
le 23 juil. 2024
2 j'aime
La théorie de la disparition est à la fois un roman social, un roman noir, un texte poétique et intime d'une femme effacée. Une femme qui mute et se métamorphose lentement, prend peu à peu conscience...
le 26 avr. 2025
1 j'aime
Qui n'a jamais rêvé de tout envoyer valser ? Sur fond d'arnaque à l'assurance et en reprenant les codes du roman noir, les frères Lejean (Robin au dessin et Bruno au scénario) ont trouvé un excellent...
le 27 avr. 2024
1 j'aime
