C'est pas la taille qui compte mais là, c'est quand même trop court

Ce roman, qui tient plutôt de la nouvelle, est une belle promesse. Avec à peine 80 pages, il se lit d'un clin d'œil, et c'est bien dommage. L'idée (un Samuel Beckett apiculteur excentrique trafiquant les archives qu'il laisse à la postérité) est tellement prometteuse qu'on ne peut qu'être déçu de son exploitation trop fugace.
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le 22 mai 2014

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Rachel L

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