Prix Goncourt ? ah... bon...
Peut être ce qui est le mieux c'est le contraste entre le titre et l'histoire. Sinon, cette femme m'a vraiment lassée. Nounou parfaite qui s'avère être une sans domicile fixe, anciennement internée, avec tellement de problèmes, de casseroles que l'on se demande comment elle peut être crédible au point que le couple pense l’emmener en vacances avec eux. Alors, critique sociale sur les difficultés d'être en 2016 ? difficile car elle est tellement tordue que j'ose espérer que ce n'est pas la norme. bref, à la moitié du livre, j'ai fait une lecture "rapide" en diagonal. Non, décidément pas pour moi. Alors que j'ai tellement aimé "Petit Pays" de Gael Faye...
Créée
le 2 janv. 2017
Critique lue 2.7K fois
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Je ne comprends pas. Le Goncourt, alors qu'en face on avait Babylone, Désorientale, Petit pays, 14 juillet... entre autres romans, tellement meilleurs. Chanson douce possède deux atouts majeurs: son...
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le 12 juil. 2017
41 j'aime
7
Comme ils sont étranges, les deux segments ouvrant et fermant ce récit. Ils semblent échappés d'une autre réalité, sans lien avec cette histoire (ils sont accompagnés de quelques visions du futur...
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le 26 avr. 2018
23 j'aime
9
J’aime les femmes à la dérive, les givrées sans que ça se voie, les qui tiennent à un fil, les qui menacent de rompre, les concentrés de dinguerie. Donc, j’aime Louise, la nounou parfaite,...
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le 4 sept. 2016
21 j'aime
2
ce livre est irable et méritait bien sûr le prix Goncourt. Pourquoi, parce qu'il réussit à dire l'indicible avec pudeur et beauté. 1869, Darfour, Bakhita est enlevée à 5 ans par 2 hommes voulant...
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le 22 déc. 2017
4 j'aime
très bon livre qui nous entoure de douceur, de tendresse et de sentiments vrais, sans empoulement (si ce mot n'existe pas, tant pis..). Franck et Louise que l'on suit tour à tour dans leur vie...
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le 17 nov. 2012
4 j'aime
1
des nouvelles, extrêmement courtes (2/3 pages) mais quelle efficacité ! Claudel prend tous nos travers actuels, nos manquements, et il y a de quoi faire, et les détourne, les amplifie jusqu'à nous...
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le 31 mars 2017
3 j'aime
