L’auteur confronte les concepts qu'il manie parfaitement de la culture occidentale (tendance 70s) au corpus de la **grande poésie classique persan**e : Ferdowsi,Hâfez, Saîdi, Khayyam, Attar....
C'est enrichissant lorsqu"Eftékhâri lance des ponts entre philosophie grecque et pensée zoroastrienne en s'appuyant sur une lecture psychanalytique.
C'est assez déroutant dans la forme : les arguments sont jetés au fil de l'au, il n'y a pas de plans structurés. Les pensées se suivent de manière non-ordonnées et y perdent parfois le lecteur le plus attentif.
Pour notre part, nous retienons en définitif caractère singulier et l’étonnante unité de la civilisation iranienne qui sous-tend les grands auteurs persans