A lire pour l'avant dernier chapitre qui se e dans un bordel en Roumanie tandis que les armées russes viennent enfoncer les lignes germaniques. L'orgie qui y est décrite aurait mérité d'être mise en image par Marco Ferreri. Tant de débauche sexuelle et éthylique qui se termine en tribunal populaire istré par des repris de justices et des putains contre une mère maquerelle collaboratrice du IIIe Reich aurait pu donner une œuvre cinématographique merveilleuse.
A lire aussi pour sa violence, sa haine des SS, mais aussi son humour grinçant.
Si vous lisez le danois, foncez sur l'édition originale. La traductrice qui s'est occupée de er le texte en français mérite rien, même pas que je lui crache à la gueule tellement c'est approximatif. Morue.