Journal des JV joués en 2025

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Satisfait dans l'ensemble. Jeu relativement beau. On ne nous embête pas trop longtemps avec le scénario. Des énigmes chouettes et une progression satisfaisante dans des niveaux bien agencés. La plateforme est moins bien fichue que dans l'opus de 2013.

Achevé en 26h. Jeu offre de très beaux panoramas, la lumière et les textures sont de bonne facture. Le modèle de Lara Croft rend bien. L'actrice qui lui prête sa voix fait du bon boulot mais on ne peut pas en dire autant des PNJ tertiaires. L'éclatement de la structure du jeu avec ses multiples quêtes secondaires affaiblit cependant le rythme du titre, j'ai fini par sauter deux d'entre elles... Idem l'aspect collectathon est sans intérêt et nous contraint à remplir nombre de jauges inutiles. L'opus cède à l'air du temps sans atteindre l'indigestion que m'ont causé les Assassin's Creed. Intrigue pas très bien écrite (la reine calanche et Lara est bouleversée alors que techniquement on l'a rencontré la veille...) de même que certains dialogues, qq scènes ridicules. Satisfait dans l'ensemble même si moins marquant que le Tomb Raider de 2013.

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Démo faite en janvier.

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Obtenu pour 50 centimes. Ma progression de 3-4h a été effacée inexplicablement...

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Cas d'école d'un jeu plombé par sa formule d'openworld générique. Plutôt qu'un jeu plus dirigiste qui distribue son gameplay de manière pertinente en développant son leveldesign et ses ennemis en fonction des outils donnés au joueur, ici tout est éclaté et nécessite d'ubisofter des trucs. Dommage car le gameplay est tellement juste quand il veut, les affrontements jouissifs malgré un bestiaire rachitique. Graphiquement je pensais que c'était mieux. DA et écriture en font des caisses sur l'aspect fou-fou (absent du premier même si certaines situations étaient un peu loufoque), ce qui fait que l'ensemble rend ringard forceur. Retrouve des gimmicks venant des DOOMs d'Id Software (armures rondouillardes, mécaniques, bruitages, etc.).

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Introduction poussive à bien des égards. Graphismes jolis mais en extérieur, seulement de loin. Combats nettement moins funs que ds opus précédents : 1) armes manquent de patates ; 2) se soigner est trop long ; 3) les mécaniques de bases ont été déshabillées pour fournir un arbre de compétence nul ; 4) le light RPG est un calvaire et empêche de se frotter au jeu comme on l'entend (paradoxe du monde ouvert ubichiotte). Animations faciales absentes et design des persos est d'une tristesse ! Mais un petit flow grâce à qq persos tertiaires sympas (le mec de wiki et la médic-addict) et à de petites énigmes... plombé par un openworld trop vaste et qu'Ubi tente de dynamiser en t'envoyant en permanence des ennemis à la tronche. Évidemment, ne parlons pas de la monétisation interne pour rendre la progression moins laborieuse.

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Clairement le plus abouti des trois FPS de 2019 que je fais en ce moment. Graphiquement très propre, très clair, de bien beaux gunfights, une ambiance qui cerne son sujet, un leveldesign aux petits oignons. Mais, mon pb avec les borderlands, ça dégueule de loot, me contraignant 1) à fouiller le moindre recoin d'une arène 2) à trier un inventaire en permanence. Je suis vite découragé.

Annotation :

- Ornstein et Smough battus en un try. Je suis une fraude.
- Démon du refuge bis aka Pyrosage : j'ai galéré
- Seath : quelle galère !
- Artorias : 4-5 try pour en venir à bout, grâce à un build lance-bouclier
- Sif : en un try
- Quatre rois : 3-4 try, beaucoup de panique
- Foyer du chaos : relou pour rien
- Nito : 2-3 try
- Manticore : demi douzaine de try, le temps d'apprendre ses paterns
- Kalameet : une douzaine de try
- Manus : 4-5 try, pas de grande difficulté
- Gwyn : une demi-douzaine de try, facile si à partir du moment où on enchaîne des contres

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Joué seulement qq heures. Le jeu est moche eut égard aux critères de 2022, on a l'impression qu'il est sorti en 2014. La ville manque de vie. Les gunfights sont ennuyeux et inintéressants. Aucune sensation lors de la conduite. Le chara-design et l'écriture sont cringes. L'univers des Saints est édulcoré jusqu'à l'os (cf. la cut-scene où une fliquette en sauve une autre pour ne pas se faire écraser, mais laissez les poulets se faire écraser comme des crêpes bon Dieu !). Physique cassée : j'ai pu renverser une bagnole avec ma moto.
En vrai, si j'avais participé à ça, j'aurais honte.

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Fait l'essai gratuit (moins une très longue compilation des shaders). C'est pas si pire que ça, je comprends pourquoi certains peuvent mettre une bonne note. L'aspect science-fantasy ne e pas, la DA pas toujours non plus et l'écriture marvelienne-positive non plus, le casting de brochure institutionnelle me fatigue. Les combats sont dynamiques mais très classiques, le souci vient plus du bestiaire. Très facile. Level-design assez correct mais sans génie. J'ai peur que l'écriture soit hogwartslegacienne à nous rappeler en permanence à quel point notre PJ est génial en toutes circonstances. Quitte à se faire sucer autant assumer quelques aspérités.
Il ne s'agit que de premières impressions. On est très loin d'un désastre industriel comme le Saints Row de 2022 ou d'un truc ennuyeux comme Far Cry ND, mais aussi loin du génie ou de la radicalité de titres similaires sortis dernièrement comme Elden Ring, BG3 ou Dragon's Dogma 2.

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62h de jeu. Reprise après qq mois de pause après une rencontre malheureuse avec un drac.

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ça n'avait pas pris la première fois mais cette fois-ci je suis addict.

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Bilan : manque de profondeur à tous les niveaux de l'expérience. Seule la découverte de nouveaux environnements nous fait réellement avancé après la deuxième moitié du jeu. La multiplication des pires quêtes fed-ex n'aide pas. Elles ont certes une utilité pour pousser les joueurs à explorer les niveaux, mais les gens comme moi qui les ent au peigne fin sont punis. Les combats ne se renouvèlent pas, le mode difficile transforme les mobs en sacs à PV.

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Deux premières heures sympathiques. Les combats sont biens malgré des ennemis qui peuvent se TP sur notre position quasiment à l'autre bout d'une arène. L'exploration et le leveldesign sont réussis. C'est assez beau sans être une claque.

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Démo faite en mars.

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Gameplay extrêmement frustrant : demande b de précision mais la conception du jeu est brouillonne... La plateforme est mal fichue (une pesanteur au décollage et une imprécision à anticiper l'endroit où on atterrit), particulièrement quand elle se couple aux combats, eux-mêmes insatisfaisants.
Les ennemis ont trop de PV, sont très rapides et nous n'avons que trois PV ! Il faut parfois toucher son adversaire une douzaine de fois pour le tuer et le joueur crève en trois ! Échec est fracassant : il n'est pas agréable de se placer au menu fretin. Ennemis mal placés, on risque de se retrouver face à plusieurs et de chaque côté (pour en jeu en 2D). Les boss ne requièrent qu'un type de combo pour en venir à bout... palpitant...
Des bugs obligent à recommencer des séquences entières. Des éléments de design incompréhensibles : pourquoi doit-on appuyer quatre fois pour recharger notre énergie ? et pas une ?
Le paquet semble avoir été mis sur la DA, qui est somptueuse, mais tout le reste manque clairement de finition. Bref, le jeu est suffisamment raté pour être coincé dans des évaluations moyennes sur STEAM et ne risque pas d'en sortir avec mon aide.

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Étonnamment chouette.

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Retour dessus après presque 15 ans et les trois suivants faits religieusement. On sent que tout n'est pas encore très abouti.

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Bonne surprise. Les personnages sont un peu moins unidimensionnels que dans Man of Medan bien qu'encore têtes à claque (ce qui est fait à dessein). Ceci dit le jeu est techniquement moins abouti que ce dernier (relativement à l'époque).

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Achevé en 22h. Après quelques heures on se rend compte que ce n'est pas Fallout mais plutôt Stalker (avec des vibes de Sinking City pour ce territoire décrépit et pour une partie de la boucle de gameplay). Graphiquement moyen mais solide pour ce qui est du framerate et de la distance d'affichage. Combats très corrects. Exploration prenante et permet au joueur de se plonger dans une intrigue éclatée. Réflexion faite, c'est un peu ce que j'aurais aimé que The Last of Us devienne, mais encore faudrait-il que Neil Druckman nous laisse jouer... Plusieurs fins et pas de manichéisme, le plaisir de pouvoir trucider tous les PNJ si on le souhiate. Hélas, la cinématique de fin est un vieux montage qui pue le manque de moyens !

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Retour sur le jeu après 7-8 ans. Contrôles ont franchement vieilli et même si certaines textures sont dignes d'une Switch mais on se plonge aisément dans cette apocalypse zombie.

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F.H.Exp. : prise en main difficile en raison de ctrls datés/inadaptés (un double clic serait plus simple pour des actions basiques, clics droits & gauches à inverser, raccourcis qui changent selon les unités, etc.). Un petit peu dommage.

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Malgré une première bonne impression, plus j'avance je suis déçu. Jeu très beau malgré qq retards d'affichage. Narration plus que maladroite : joueur assommé par une foule de textes, des cinématiques peu inspirées et certaines lignes autant cringes que convenues. Le jeu nous arrête littéralement pour dire que le paysage est beau... Combats franchement répétitifs malgré qq ajouts d'ennemis une fois que tous pvrs sont débloqués (relativement tôt dans le jeu). Course-poursuites extrêmement molles. Leveldesign est bien mais plutôt convenu (même si très convenable). Bref, insatisfaisant.

In fine c'est assez mal écrit (la surcouche de dialogue surligne des évidences), les combats se répètent jusqu'à la fin (le boss final consiste en trois fois la même arène) malgré une D.A. très travaillée. A la fin, on a quand même hâte que ça s'arrête.

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Repris pour comparer avec SoM. J'ai réussi à aller à la moitié avant de m'en désespérer, songeant qu'il y avait mieux à jouer. Immédiatement les défauts du jeu, qui m'avaient sauté aux yeux il y a 3-4 ans, me sont reparus tels quels : une narration un peu poussive (mais il y a pire), graphiquement un petit peu décevant (par rapport aux promesses) mais surtout un leveldesign brouillon et jamais pertinent pour l'exploration alors que le jeu nécessite de ramasser des collectibles en pagailles. Autre souci : les collectables. On trouve de quoi acheter une palanquée de customisation pour nos Rots mais jamais assez de Rots, on se retrouve à spamer la simili vision spéciale. Les combats ne sont ni très originaux ni agréables, on peste contre cette caméra qui ne se verrouille que rarement là où en a besoin, notamment lorsqu’on a besoin de santé... Des ennemis ont une range de fou et peuvent pratiquement se TP sur toi, comme si une rustine avait été appliquée parce que, justement, les confrontations n'étaient pas assez nerveuses. Enfin, une curieuse imbrication des briques de gameplay. Bref, je ne suis pas convaincu.

Annotation :

Retour sur les extensions Sultans et Knights of Cross and Rose. Autant je trouve inconfortable de jouer les byzantins, autant j'ai b de plaisir à jouer les Templiers.