Rocket Knight Adventures
7.7
Rocket Knight Adventures

Jeu de Nobuya Nakazato (1993Mega Drive)

Fun, classique, indémodable.

Bah, si vous êtes venu ici, c'est que vous savez de quoi il est question : pas besoin que je fasse de couplet nostalgique sur ce genre de jeu de plateforme pour old timers.
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste

Créée

le 14 nov. 2011

Critique lue 107 fois

zardoz6704

Écrit par

Critique lue 107 fois

D'autres avis sur Rocket Knight Adventures

Critique de Rocket Knight Adventures par C2J

Rocket Knight Adventures est un must-have si vous possédez une MegaDrive. Mieux, il s'agit là d'une véritable invitation au retro-gaming tellement ce jeu vous prodiguera des heures de bonheur. Avec...

Par

C2J

le 24 sept. 2010

9 j'aime

2

Sparkster ou dans les airs.

1993. Un an après la sortie du vénéré Sonic 2, le hérisson bleu est au sommet de sa gloire. Forcément d'autres tenteront de l'imiter, et on voit déferler une vague de mascottes animalières plus ou...

Par

le 10 juil. 2011

6 j'aime

Opossum du futur et cochons de l’espace

Après avoir offert Contra 3 à la Super Nintendo, Konami, et plus particulièrement Nobuya Nakazato, se penche sur la Megadrive pour lui offrir un autre jeu de plates-formes / action avec une toute...

Par

le 12 avr. 2023

2 j'aime

Du même critique

Tout ou rien...

C'est ce genre de film, comme "La dernière tentation du Christ" de Scorsese", qui vous fait sentir comme un rat de laboratoire. C'est fait pour vous faire réagir, et oui, vous réagissez au quart de...

le 6 sept. 2013

59 j'aime

10

C'est beau, c'est très pensé, mais...

Milieu des années 1970 dans la banlieue de Seattle. Un mal qui se transmet par les relations sexuelles gagne les jeunes, mais c'est un sujet tabou. Il fait naître des difformités diverses et...

le 24 nov. 2013

45 j'aime

6

Fatigant...

"Crossed" est une chronique péchue, au montage saccadé, dans laquelle Karim Debbache, un vidéaste professionnel et sympa, parle à toute vitesse de films qui ont trait au jeu vidéo. Cette chronique a...

le 4 mai 2014

42 j'aime

60