Je ferai court sur ce jeu : dernier espoir pour un Prince of Persia en 2020 [critique écrite avant l’annonce du remake de Sands of Time].
Il est intéressant de voir un jeu indien avec une femme, par un studio indien dirigé par une femme.
Cependant, malgré des scènes très jolies et des musiques parfois sympathiques, le jeu s’étire et se répète dans sa lenteur, sa lourdeur et son manque d’ambition.
L’histoire, sur fond de mythologie hindoue, attise la curiosité mais n’arrive pas à captiver. La fin, ou abrupte et triste, ou appât-à-suite, déçoit.
Jeu vide, redondant et sans trop d’intérêt au final. Beau, cela dit.
Je souhaite cependant à cette équipe de trouver leurs marques et de viser dans le mille au prochain essai.
Créée
le 29 sept. 2020
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Raji : An Ancient Epic était un jeu que j'attendais sans l'attendre vraiment. Je ne m'étais pas beaucoup renseigné sur le soft, mais j'avais été emballé par la proposition visuelle du cadre, une Inde...
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le 23 oct. 2020
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Je ferai court sur ce jeu : dernier espoir pour un Prince of Persia en 2020 [critique écrite avant l’annonce du remake de Sands of Time]. Il est intéressant de voir un jeu indien avec une femme, par...
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le 29 sept. 2020
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Gros morceau que ce Bloodstained. Depuis le…. Revirement (disons revirement) de Konami (qui ne méritera même pas de texte en gras, tiens), et le départ des anciens, on attendait ce retour d’Iga, fier...
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le 29 sept. 2020
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Enfin ! Ce seul mot décrit à lui seul l’expérience tirée de ce Paper Mario. Je craignais bien l’ennui après un Sticker Star plus que fastidieux. Malheureusement, ma crainte était fondée. Le jeu a...
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le 29 sept. 2020
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