Radio Days
7
Radio Days

Film de Woody Allen (1987)

Voir le film

Radio Days par Maxime Pepe Lucho

Notes sur le film : Écrit avec un brio et une drôlerie démentiels, ce petit film (1h28) est un plaisir de chaque instant ou presque, qui offre moins un récit linéaire qu’une succession de scénettes décrivant le rapport d’une famille bigarrée à la radio comme au show business qui la sous-tend. Œuvre méconnue de Woody Allen, Radio Days est loin de ses chefs d’œuvres – Match Point (2005), La Rose pourpre du Caire (1985), Tout le monde dit I Love You (1996) ou Manhattan (1979) -, mais tient la dragée haute aux films mineurs du cinéaste depuis le début des années 2000 – et il y en a beaucoup.

8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Films découverts en 2025

Créée

il y a 6 jours

Critique lue 1 fois

Maxime Pepe Lucho

Écrit par

Critique lue 1 fois

D'autres avis sur Radio Days

In the mood, Lullaby of Broadway !

Radio Days, c'est un voyage musical et temporel, où le spectateur est invité à découvrir le quotidien d'une famille juive New Yorkaise dans les années 30. Le tempo de ces "aventures" typiques de...

Par

le 27 juin 2011

20 j'aime

4

Orson Welles fout la merde

"Radio Days", le temps de la radio, le temps où la télévision était marginale et où l'Amérique toute entière avait les oreilles tendues vers d'énormes postes radiophoniques qui diffusaient des shows...

le 10 mars 2013

16 j'aime

La veine poétique de Woody!

Radio Days comme un petit frère De La Rose Pourpre du Caire Feuilletons radiophoniques, Chroniques,infos et musique A la place d'un fantasme Cinématographique sans sarcasme. On y retrouve évidemment...

Par

le 20 oct. 2016

11 j'aime

7

Du même critique

Critique de Years and Years par Maxime Pepe Lucho

Notes sur la série : Cette série écrite par, sur et pour des libéraux s'étale sur six épisodes plein de moraline, avec en fond un discours politique simpliste et inepte - "l'extrême droite et...

le 15 juin 2020

4 j'aime

1

Critique de L'Innocence par Maxime Pepe Lucho

Notes sur le film : Inspiré par Rashômon (1950) d’Akira Kurosawa au niveau de sa structure narrative, L’Innocence - ou « Monstre » en VO, ce qui a plus de sens en regard du film - navigue à travers...

le 10 févr. 2025

2 j'aime

3

Critique de City of Hope par Maxime Pepe Lucho

Notes sur le film : Une oeuvre stimulante et brillante sur un microcosme grouillant de personnages complexes, dont les trajectoires sont, de près ou de loin, sous l'influence d'un système et de...

le 8 juin 2020

2 j'aime