Jenny, femme marquée
6.7
Jenny, femme marquée

Film de Douglas Sirk (1949)

Jenny, femme marquée par aliosha

Un Douglas Sirk mineur, qui se termine en jus de chaussette. On notera tout de même la performance ambigüe de Patricia Knight, sublime pour ce rôle de femme tiraillée. Comme d'habitude, Sirk compose les cadres comme un paysagiste d'intérieur.
7
Écrit par

Créée

le 7 déc. 2012

Critique lue 569 fois

2 j'aime

1 commentaire

aliosha

Écrit par

Critique lue 569 fois

2
1

D'autres avis sur Jenny, femme marquée

Doubles personnalités

Avant de devenir le maître du mélo flamboyant, en fin de carrière, Sirk a tourné, entre autres, quelques excellents films noirs (Des filles disparaissent, L'homme aux lunettes d'écaille), au style...

le 27 sept. 2019

2 j'aime

Critique de Jenny, femme marquée par aliosha

Un Douglas Sirk mineur, qui se termine en jus de chaussette. On notera tout de même la performance ambigüe de Patricia Knight, sublime pour ce rôle de femme tiraillée. Comme d'habitude, Sirk compose...

Par

le 7 déc. 2012

2 j'aime

1

L'amour contre toute vraisemblance

Déçu par ce film. L'idée de base est bonne, mais c'est ruiné par cette intrigue amoureuse prévisible et facile, qui affaiblit considérablement les personnages (leur caractérisation je veux dire). les...

Par

le 6 nov. 2019

1 j'aime

Du même critique

À coups de marteau.

Produit par Wes Craven (l'auteur-réalisateur du film original), « La dernière maison sur la gauche » est divertissant et jubilatoire : l'intrigue nouée entre le film de survie et le film de vengeance...

Par

le 23 nov. 2011

8 j'aime

Vacances chez Super8land : Il pleut, l'été sera pourri, j'ai eu une crise d'épilepsie. Bisous.

Comment dire ? On s'attend à voir, par le truchement du titre, une vision personnelle de l'Amérique. De façon plus modeste, peut-être, que le monument « Route One USA » de Robert Kramer. Une...

Par

le 9 févr. 2013

7 j'aime

3