Ce documentaire commence avec la ville de Tchernobyl et se termine avec ou l'on voit la nature (végétation et animaux sauvages) reprendre le dessus alors que la zone restera interdite a l'homme (haute radioactivité) sans doute pour plusieurs siècles.
David Attenborough (93 ans) raconte sa carrière professionnelle a travers les documentaires animaliers et environnementaux auquel il a participé (Notre planète (2019) avec des extraits superbes.
Le discours sur la perte des espèces animales, le RC (réchauffement climatique), et ses conséquences actuelles ou futures potentielles peut être déprimant pour les nouvelles générations et les âmes sensibles.
J'ai apprécié que David parle du gros animal (homme) dont la population a explosé ces dernières décennies et qui risque de disparaître. Ne vous inquiétez pas pour notre planète Terre, elle va très facilement survivre au RC et a la 6e extinction de masse. a l'image de ce qui se e 30 ans après a l'accident de Tchernobyl.
Ce film se concentre sur le constat (50 min) et n'a pas vraiment le temps d'aborder le champ des solutions a part qq grandes idées. C'est un documentaire grand public pour sensibiliser les gens.
Certains pourront lui reprocher d’être trop optimiste sur les solutions "vertes" et d'autres trop pessimiste sur le constat et projections si on ne change rien. Ce sont des détails. La prise de conscience des citoyens et électeurs est indispensable pour faire pression sur les politiques pour qu'ils agissent intelligemment et efficacement. Le temps du baratin et des "petits pas" est terminé. Le temps des écologistes rêveurs qui ne veulent plus de l'énergie nucléaire, alors qu'elle n’émet pas de C02, qui ne maîtrisent pas bien les chiffres et la simple règle de trois devrait finir au plus vite pour changer de discours et d'action.
Enfin c'est pas parce que le "green washing" existe, qu'il n'existe pas de vraies solutions durables. Il n'y a qu'a penser a la civilisation humaine d'avant la révolution industrielle sans pétrole (ni plastique) et sans charbon.