12:01 est tiré d'un roman de 1973, tout comme la 2ème adaptation, plus légère et trois fois plus longue, datant de 1993 (tiens, la même année qu'Un Jour Sans Fin). Myron est coincé dans une boucle temporelle d'une heure, entre 12:01 et 13:00.
Ce 12:01 dure 30 minutes et on e le premier tiers à comprendre ce qu'il se e avec une petit bluette servant d'exemple. Le reste est une tentative infructueuse de sortir de cette boucle.
En 2016, tout est bien sûr vu et revu mais en se replaçant dans le contexte de ce moyen métrage datant d'il y a 26 ans, c'est différent. De plus, la forme est sympa. Myron Castleman est joué de façon convaincante par Kurtwood Smith (Red dans That 70's Show pour moi) et les effets spéciaux sentent TELLEMENT les années 90 que c'en est spéléologique !
À regarder pour tout fan de films avec une boucle temporelle voulant parfaire cette niche culturelle du cinéma !