Bien que doté d’un scenario moins palpitant que le premier tome, « Civil war : tome 2 : vendetta » tient solidement la route en mettant en évidence deux personnages particuliers mais o combien symboliques de l’univers Marvel.
Spider man parait toujours fragile, humain, en proie au doute et vulnérable par son attachement à ses proches, tandis que Wolverine, égal à lui-même joue son rôle de chasseur semant les cadavres sur son age mème si le gibier qu’il chasse, Nitro, est cette fois des plus redoutables et aurait du selon moi le tuer en réduisant en cendres son corps.
D’un point de vue de la narration, l’intervention de Wolverine est importante car elle permet d’impliquer Declun indirectement dans l’origine de la guerre civile, même si il n’a en réalité fait que souffler surs les braises pour profiter financièrement des retombées.
En faisant tomber Declun on peut penser que si il ne supprime pas le mal à la racine, Wolverine en atténue tout du moins les effets aggravants issus de la rapacité industrielle.
Si ce deuxième montre de jolis affrontements entre Spider man et Captain america, Wolverine et le Prince des mers mais également Wolverine et Nitro, l’ambiance est toutefois moins grandiose et apocalyptique que le premier tome
Ce sentiment est renforcé par le style de Ron Garney, moins fin et élégant que celui de Mc Niven, ce qui achève de placer ce deuxième tome en dessous du premier.
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