Un manga en one shot, par une mangaka de talent !!!
Waka Hirako nous emporte dans un tourbillon d'émotions avec ce manga au sujet grave traité avec justesse.
Tomoyo est une héroïne profondément humaine et attachante, aux antipodes de la femme japonaise fantasmée, qu'on a du mal à suivre dans sa course tant Waka Hirako nous la dépeint toujours en mouvement, trainant derrière elle le regret, la colère, la culpabilité et un amour immense...
La narration qui oscille entre é et présent est particulièrement réussie, ainsi que le graphisme d'une grande puissance, au trait vif et nerveux.
Puissant et bouleversant, à lire absolument, vraiment
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 22 mars 2021
Critique lue 141 fois
1 j'aime
Malgré les avis très positif que je ne partage pas, je me suis laissé entraîner dans ce drame, sur le sujet délicat du suicide.Je pensais me faire prendre par les sentiments, mais non ! Je trouve...
le 26 mars 2021
5 j'aime
Un seinen en one shot, c'est déjà tellement rare de nos jours que je l'attendais celui-ci. Parce que bon, mine de rien, la question "vous avez un manga mais pas long?" revient assez souvent parmi les...
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le 28 janv. 2021
4 j'aime
On voit parfois des auteur(e)s sortant du lot dès leur première histoire longue. C'est le cas pour Waka Hirako, une jeune autrice dont « My Broken Mariko », histoire de 154 pages a...
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le 14 févr. 2021
3 j'aime
Vous trouvez votre vie compliquée ? Votre famille bizarroïde ? Eh bien , vous n'avez encore rien vu !!! Vivre selon le Principe de Mormon, si l'on schématise un tant soit peu, signifie se compliquer...
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le 26 mai 2011
7 j'aime
Superbe film, à l'humour pour le moins décalé. J'ai eu un peu de mal à rentrer dedans au début, ça part vraiment dans tous les sens, certaines scènes sont complètement surréalistes. Au fur et à...
Par
le 14 févr. 2011
7 j'aime
Mais que sont donc ces liaisons bizarres (z)et (t)étranges !!! Mon tympan en tinte encore! C'est surement fait exprès, mais c'est figé, surjoué, et je n'arrive pas à choisir entre ennui profond (d)et...
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le 30 mars 2015
6 j'aime
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