Un Ken le survivant chez les Bisounours mâtiné de catch. Les boss de fin de niveau -puisque les personnages n'existent que pour être battus- sont horriblement cons (mon dieu, ça existe encore le coup du bassin de piranhas) et ent leur temps à complimenter la technique du héros, sorte de Super Saiyan (ouah, original!) au corps de gorille et à l'esprit aussi affûté qu'un couteau (le mollusque, pas l'arme blanche...).
Le seul intérêt qu'on aurait pu trouver à ce shōnen aurait été une description des différents arrondissements de Tokyo puisque c'est du contrôle de ces territoires qu'il s'agit. Mais non, tout se ressemble, quand on ne se bat pas en intérieur.