Genèse - Superman, tome 1
6.4
Genèse - Superman, tome 1

Comics de Gene Ha (2012)

Genèse - Superman, tome 1 par Film Exposure

Ça a beau partir dans tous les sens, Morrison arrive à faire surgir des moments d'émotion très forts. Vivement la suite.
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Lu en 2012

Créée

le 10 sept. 2012

Critique lue 156 fois

Film Exposure

Écrit par

Critique lue 156 fois

D'autres avis sur Genèse - Superman, tome 1

Superman ? Vraiment ? Un scandale nommé Morrison

Ceux qui me connaissent savent à quel point j’exècre Grant Morrison et ses oeuvres. Mon regard est-il biaisé pour autant face à ce premier tome censé rebooter le personnage ? Je ne crois pas. Le...

Par

le 23 mars 2015

7 j'aime

L'avis de 666Raziel sur la série (période Morrison : 3 tomes)

Aux débuts du reboot New 52 (DC Renaissance chez nous), l'univers Superman a été considéré comme le mauvais élève. Tandis que Snyder et Capullo cartonnaient avec Batman, que certains personnages de...

Par

le 28 juil. 2014

3 j'aime

Critique de Genèse - Superman, tome 1 par FredP

Bien que très fouillé et foisonnant d’idées, le style de Morrison s’avère tout de même assez confus pour le profane et malgré les dessins et le découpage de Rags Morales, il est parfois difficile de...

Par

le 28 oct. 2012

2 j'aime

Du même critique

La couleur de la honte

De prime abord, la filmographie de David Lowery peut paraître au mieux surprenante, au pire incohérente. Après des Amants du Texas trop inféodés au premier cinéma de Terrence Malick pour pleinement...

le 31 juil. 2021

93 j'aime

2

Le refus de la transcendance

L’extrême sophistication formelle du premier film d’Ari Aster, Hereditary, annonçait l’arrivée d’un cinéaste éloquent mais aussi manquant d’un peu de recul. Sa maîtrise époustouflante du langage...

le 4 juil. 2019

76 j'aime

11

Le grand foutoir idéologique

C’est la « comédie indépendante » de l’année, le petit frisson subversif de la croisette, montée des marches langue tirée et majeurs en l’air à l’appui. Le second film de Matt Ross s’inscrit dans la...

le 12 oct. 2016

43 j'aime

39