Asterix est devenue une simple franchise commerciale depuis la disparition de Goscinny. Un espoir était permis avec l'arrivée de Conrad et Ferry. Hélas, ils répondent visiblement à un cahier des charges précis. Et ce 3e opus confirme que l'objectif est bien de vendre avant tout un maximum d'albums (album tiré à plusieurs millions d'exemplaires!) avant de raconter une bonne histoire. Le récit est relativement insipide, les personnages sans relief. Quelques quelques jeux de mots parsemés ici et là sont insuffisants pour tenir en haleine le lecteur. Relisez donc Asterix et le tour de Gaulle autrement plus palpitant et plus drôle.