Les précurseurs de la Techno-pop et de la Dance Music persistent et signent en 89 : rythmes hip-hop, électronique turbo-propulsée, son sismique et mélodies rampantes - minimalistes ? - toujours sauvées par le chant vacillant de Bernard Albrecht. Et si ce disque est leur meilleur, c'est que le risque du déséquilibre permanent entre l'artisanat pop (le cru) et la perfection technique (le cuit) y est assumé jusqu'au bout. [Critique écrite en 1989]
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Créée
le 17 juil. 2014
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Tout a déjà été dit : "New Order bonjour." "Soyons brouillons :" "D'Ibiza, ils intègrent les sonorités d'une Acid-House encore naissante," Seulement, dans ce tableau-ci, il y a bien quelque chose...
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le 8 avr. 2013
14 j'aime
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Bon, moi, vous savez, je suis assez (certains diront trop) bon public en musique, contrairement à d'autres membres du critiklub, il n'y a pas vraiment de genre qui me rebute. Et même, j'étais bien...
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le 4 avr. 2013
10 j'aime
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Celle-là je m'y attendais pas. Je dois être dans une période de grande clémence auditive. C'est vrai que j'avais plutôt apprécié Power Corruption & Lies à l'époque, mais je m'attendais à ce que le...
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le 3 avr. 2013
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Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
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le 29 nov. 2019
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Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
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le 15 sept. 2020
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Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été ées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
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le 15 janv. 2020
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