Spleen
Dieu que le temps a é vite ! Qu'il semble loin le temps des tâtonnements. Ce temps où l'on faisait ses armes dans quelques pubs enfumés des grises banlieues londoniennes; où l'on se faisait la...
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le 14 janv. 2020
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Pour ce premier album de The Cure acheté, quelle ne fut pas la déception ! Fini la période plus colorée des deux albums précédents. J'avais 17 ans à l'époque et il aurait mieux valu s'en tenir qu'à se procurer uniquement "Lullaby" et "Lovesong".
Il faudra comprendre plus tard, dans un esprit plus éveillé et cultivé, que le groupe cherchait à renouer avec la trilogie glaciale du début des années 80. Disintegration fait nettement moins commercial, certes, mais quelle longueur ! Quel ennui ! De longues chansons qui s'étalent comme des plages de mélancolie à l'infini. Ce disque est d'une noirceur molle.
Oui, là, je sens que je ne vais pas me faire des amis sur ce coup ! Peut-être donnerai-je une nouvelle chance à cet album, en maison de retraite, comme une douce et languissante euthanasie en écoutant "Pictures Of You" par exemple …
PS : Je sauverais bien "Fascination Street" aussi.
Créée
le 19 août 2018
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le 14 janv. 2020
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Desintegration sort en 1989, l'année de mes 17 ans ce qui en fait un album vraiment important pour moi. En effet ce disque est la parfaite bande son de cette période de la vie mais au-delà de ça je...
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Disintegration est le huitième album studio de The Cure sorti le 2 mai 1989. Il est important de souligner que seules 10 pistes figurent sur la fiche SensCritique: Last Dance et Homesick ne figurant...
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Ce film, je l'avais boudé à sa sortie. Non mais, sérieusement, les aînés à qui je m'adresse ! Oui ceux de mon âge, là ! Rappelez-vous l'énorme boucan médiatique que la sortie du film de Steven...
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