Du fond l'animal revient respirer à la surface.

C'est amusant, contrairement à beaucoup écouter de la musique triste ne me met pas la tête sous l'eau mais m'en sort.
Ce préambule étant dit, reste à attaquer la critique proprement dite. Elle va être assez courte.
Cet album prend aux tripes. Du premier au dernier morceau j'ai à chaque fois l'impression de n'écouter qu'un seul morceau. Voilà pour l'homogénéité. Rares sont les albums qui me sollicitent autant émotionnellement. Au milieu de tout cette tristitude apparaît toujours cette note d'espoir, d'abord rare puis qui revient de plus en plus en plus souvent etqui me redonne une pêche d'enfer ! Ca marche à chaque fois !
Bourgeois bohème ? Sans doute et je vous emmerde.

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le 5 juin 2015

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laurents91

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