Au commencement, la musique. Puis la poésie et la littérature. Il y a peu, le cinéma. J'ai toujours détesté le cinéma. Mais je m'y suis mis depuis 2 ans. Je ne vous dirai pas pourquoi, ça ne vous regarde pas particulièrement. Mes jugements sont donc encore arbitraires, tenez-en compte. Ma façon de noter ? D'abord je décapsule, avec une volupté qui n'a d'égale que la profondeur de ma solitude, une bière (ou je débouche une bouteille de vin selon l'humeur), puis j'en bois 6 ou 7, et je mets un film. Si le film est mauvais, je m'endors, si le film est bon, je m'endors quand même (oui il... Voir plus
Soliloque puéril (ou sénile) ; en tout cas stérile
N’allez pas croire que je n’aie pas pénétré chaque parcelle de la pensée de Cioran. J’adhère en tout point à sa pensée, une pensée qui se trahit, qui se renie par son expression même. Cioran, tu as...
Compréhension du djihadisme anti-occidental par un exilé français
L'auteur de cet article n'est disciple d'aucune croyance, qu'elle soit religieuse ou sociale. Il s'agit uniquement pour lui d'exprimer une vérité dépouillée. Il ne dispose pas de connaissances...
Critique de Sur la route de Madison par Julien Grolleau
« Sur la route de Madison » est une apologie du renoncement. Ce film est généralement apprécié par le public auquel il se destine puisqu’il tend à rendre beau l’ordinaire, à héroïser ce que nous nous...