Ya une super ambiance dans ce roman, dans un Montréal anar, quasi dernier bastion d'une certaine liberté en danger d'être écrasé par des forces fasciste. Il y a un super travail sur le langage, grace notamment à l'emploi du Québecois. Mais l'intrigue est d'une rare indigence, en particulier ce qui concerne le personnage de Nikki, qui prend de plus en plus d'importance au fur et à mesure que le roman se déroule. J’étais enthousiaste en commençant le roman, j'ai souffert pour le finir.
Créée
le 20 déc. 2017
Critique lue 458 fois
J’ai adoré ce livre des les premières pages. Le style d’écriture, le monde décrit. Contrairement à d’autres, je trouve que l’on s’attache vite au perso de Nikki. C’est a la fois décalé, drôle,...
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le 29 janv. 2024
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J'ai découvert Calvo en , en lisant son roman fantastique Elliot du néant, paru aux éditions La Volte en 2012. Je me souviens encore de son onirisme, de son humour, de ses références à...
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le 20 sept. 2018
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Voir la critique sur mon blog : https://hardcover.noosfere.org/index.php/post/2017/12/Toxoplasma-David-Calvo
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le 3 févr. 2018
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C'est un trés court one-shot grec qui se lit en 10 minutes à peine. Du coups, même pour 13 euros, je ne peux pas conseiller l'achat. Néanmoins, c'est une lecture agréable, à la fois absurde, douce et...
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le 5 nov. 2015
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quand un génie de la réalisation (Mctiernan) collabore avec un génie du scénario (Shane black) et avec le plus spectaculaire des effets spéciaux Hollywood (Arnold Schwarzenegger) cela donne ce film...
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le 4 déc. 2015
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Avant Heinlein dans Starship Troopers, Verhoeven avait déjà adapté un géant de la sf américaine. Philip K. Dick. On retrouve ici la patte de l'écrivain dans le scénario à tiroir qui pose la question...
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le 4 déc. 2015
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